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Investir dans l’avenir

Investir dans l’avenir

Par : Souveraine Assurance

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Pour constituer une main-d’œuvre solide pour l’avenir, l’industrie doit dès aujourd’hui s’engager auprès de la prochaine génération de talents. 

Avant que Hisham Issa ne commence son stage coopératif à la Souveraine, il n’avait jamais envisagé de faire carrière dans le secteur de l’assurance. Comme beaucoup d’étudiants, ce diplômé en informatique pensait que cet univers n’était constitué que de tâches routinières, telles que la saisie de données, avec peu de collaboration ou d’interactions sociales. Il ne lui a pas fallu longtemps pour changer d’avis. 

« J’ai eu de nombreuses occasions de découvrir le monde des affaires et son fonctionnement, de rencontrer des gens et de développer un réseau de personnes d’horizons différents, explique-t-il. Ce stage m’a également donné la possibilité de perfectionner mes propres compétences, que ce soit en matière de souscription, de communication, de gestion ou de flux de travail. » 

En tant que stagiaire dans le domaine de la responsabilité des dirigeants, Hisham a pu jouer un rôle actif. « Dès le début, il m’est apparu clair que la Souveraine valorisait la curiosité et l’initiative, et confiait de réelles responsabilités aux étudiants, explique-t-il. J’ai apprécié le fait qu’il ne s’agissait pas seulement d’observer les autres, mais de contribuer à des projets ayant un véritable impact. De plus, la culture d’entreprise était accueillante et collaborative. » 

L’expérience de Hisham reflète une reconnaissance croissante de la nécessité d’impliquer les jeunes professionnels et d’investir dans cette ressource : ils apportent une énergie nouvelle, de la curiosité et un potentiel à long terme à un secteur souvent négligé, mais riche en objectifs et en possibilités. 

Pour Claire Bull, l’assurance n’était pas non plus un choix de carrière évident. Étudiante du programme de protection incendies et de technologie de Seneca, elle envisageait initialement une carrière dans le domaine de la lutte contre les incendies. Mais après un cours présentant brièvement le secteur de l’assurance, Claire s’est découvert un réel intérêt pour ce domaine. « En faisant des recherches, j’ai découvert divers postes dans la gestion et l’ingénierie des risques, ce qui a suscité mon enthousiasme et m’a motivée à explorer cette voie grâce à un poste en alternance travail-études », explique-t-elle. 

En tant qu’étudiante d’été au sein du service de gestion des risques de la Souveraine, Claire ne s’est pas contentée d’observer, elle a joué un rôle actif. « Au début, j’ai suivi plusieurs collègues lors d’inspections des risques et, vers la fin de mon stage, j’ai pu mener mes propres inspections et rédiger des rapports pour la souscription », explique-t-elle. 

De l’inspection des bâtiments à la gestion de projets administratifs en passant par les réunions avec les clients, Claire affirme que son travail au sein du service de gestion des risques a dépassé ses attentes. « Mes collègues sont très flexibles dans leurs méthodes de travail, que ce soit pour voyager, accomplir des tâches indépendantes, rencontrer des clients ou collaborer avec l’équipe », dit-elle. 

Faire face à deux pressions sur la main-d’œuvre : les départs à la retraite et le chômage des jeunes

L’expérience de Claire, comme celle de Hisham, montre ce qu’il est possible de réaliser lorsque les jeunes sont exposés de manière significative à l’industrie dès le début de leur carrière. Tant pour les étudiants que pour les organisations, les stages coopératifs et les programmes de début de carrière créent des occasions de mentorat, de croissance et d’apprentissage. 

Ces occasions sont essentielles, car une grande partie des Canadiens approchent de l’âge de la retraite. Selon un rapport de Statistique Canada, la participation au marché du travail a diminué depuis le début des années 2000 et cette tendance devrait se poursuivre jusqu’en 2030, lorsque la dernière génération de baby-boomers atteindra l’âge de 65 ans1. Dans le secteur de l’assurance, 8,5 % de la main-d’œuvre dans le domaine de l’assurance de dommages devrait prendre sa retraite au cours des prochaines années2.

En même temps que ce changement se produit, les jeunes d’aujourd’hui ont du mal à trouver des débouchés professionnels. Au cours de l’été 2025, le taux de chômage des étudiants âgés de 15 à 24 ans qui reprenaient leurs études était de près de 18 %, soit le chiffre le plus élevé depuis l’été 2009 (18 %), à l’exception de l’année 2020 marquée par la pandémie3. Compte tenu des obstacles importants à l’entrée sur le marché du travail, les programmes coopératifs dans le secteur de l’assurance sont encore plus précieux pour les jeunes d’aujourd’hui. Ces stages permettent aux étudiants d’acquérir de nouvelles compétences, de gagner en confiance et de se familiariser avec un secteur dynamique. 

 « Ces postes offrent toujours des occasions d’évoluer, ainsi, les jeunes restent motivés à atteindre leurs objectifs, explique Claire. Le secteur de l’assurance est en constante transformation, car le monde nous confronte à de nombreux risques différents auxquels nous devons nous adapter, ce qui rend ce secteur passionnant. Lorsque vous travaillez dans le secteur de l’assurance, vous avez un véritable impact. » 

Claire souligne également le rôle plus important que joue l’assurance au-delà de son rôle de filet de sécurité financière pour les clients. « La Souveraine protège non seulement les actifs physiques, mais aussi les moyens de subsistance des personnes qui en dépendent, explique-t-elle. Le département de gestion des risques sensibilise les clients aux risques et aide les entreprises à se protéger. L’assurance permet d’éviter les pertes et de renforcer les communautés et les entreprises. »

Hisham partage ce sentiment, observant que l’assurance ne consiste pas seulement à transférer les risques, mais aussi à favoriser la croissance et la stabilité. « On pourrait penser qu’il s’agit de simples formalités administratives et de polices, mais en réalité, l’assurance vise la résilience et la garantie que les particuliers et les entreprises puissent continuer à aller de l’avant », ajoute-t-il. 

Cultiver la résilience du secteur grâce à des talents prêts pour l’avenir

Pour renforcer la résilience, il faut commencer par investir dans les jeunes talents, et les courtiers de premier plan ont une occasion unique de façonner cet avenir en ouvrant leurs portes aux jeunes professionnels. Lorsqu’ils évaluent leur réserve de talents, ils peuvent se poser les questions clés suivantes :

•    Quelles possibilités de stages, d’internats ou d’emplois de premier échelon pouvons-nous créer ou développer pour attirer et former de jeunes talents? 
•    Comment nos processus de recrutement et d’intégration peuvent-ils être adaptés aux besoins des nouveaux talents? 
•    Quelles possibilités de mentorat et de croissance pouvons-nous offrir pour assurer notre succès à long terme? 

En réfléchissant à ces questions et en prenant des mesures déterminantes, les courtiers peuvent orienter la prochaine génération de talents vers le domaine de l’assurance, garantissant ainsi la continuité et l’innovation.

Pour ce qui est des étudiants et des jeunes diplômés, Claire souligne le large éventail de débouchés offerts par le secteur, qui couvre les soins de santé, la technologie, la construction, les affaires, etc. « Il y en a pour tous les goûts; le secteur offre de nombreuses possibilités de carrière, notamment dans la souscription, les sinistres, la cybersécurité, la gestion des risques, la technologie, etc. ». 

Elle donne ce conseil aux jeunes qui envisagent de se lancer dans ce secteur : « Gardez l’esprit ouvert et saisissez toutes les occasions d’apprendre. Il y aura toujours une place pour vous où vous pourrez vous épanouir et prospérer. »

Sources

1Global News, « Can Canada’s labour force rebound after baby boomers retire? », 7 août 2024.
2Canadian Underwriter, « Addressing a shortage of qualified commercial underwriters », 28 novembre 2023, mis à jour le 30 octobre 2024.
3Statistique Canada, « Enquête sur la population active, août 2025 », 5 septembre 2025. 

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