Vos clients sont-ils prêts à faire face aux risques d’aujourd’hui en matière de bris des équipements?

Il y a dix ans, pour la plupart des entreprises, l’assurance Bris des équipements visait essentiellement les chaudières et les courroies défectueuses. De nos jours, les risques sont plus complexes – et beaucoup plus critiques pour les opérations.

« Les entreprises sont plus automatisées, elles dépendent plus des systèmes numériques et sont de plus en plus exposées à des phénomènes météorologiques fréquents et imprévisibles, comme la chaleur, le froid et l’humidité extrêmes, qui peuvent avoir un impact sur leurs équipements », explique Allen Babista, directeur principal, Distribution nationale, Bris des équipements chez Souveraine Assurance.

Les équipements en soi ont évolué. Un seul capteur ou un seul élément de circuit peut désormais entraîner l’arrêt d’une machine entière – ou d’une opération entière. Et avec l’inflation qui fait grimper les coûts de réparation et de remplacement, les enjeux n’ont jamais été aussi importants.

Risques émergents et lacunes négligées

Dans ce nouvel environnement, les entreprises ne peuvent pas se permettre d'émettre des hypothèses traditionnelles sur le bris des équipements. « Avant, on parlait de bris mécaniques ou d’incendies, explique M. Babista. Maintenant, on constate des défaillances au niveau des composants intelligents, des capteurs, des systèmes hybrides et des unités de chauffage, de ventilation et de climatisation – des types de risques auxquels on ne songeait même pas il y a 5 ou 10 ans. »

Trop souvent, à son avis, ces risques sont sous-estimés. « Les bris d’équipements sont parfois traités après coup. Les clients ne se rendent pas compte que les pertes découlant de ce type de défaillance ne sont généralement pas couvertes par les polices d’assurance des entreprises standard et que les conséquences peuvent être importantes. »

En fait, les réclamations relatives aux enjeux climatiques révèlent à quel point les entreprises sont devenues vulnérables. Les vagues de chaleur et l’allongement des saisons d’activité mettent à rude épreuve les systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation. Les vagues de froid prolongées mettent à l’épreuve des machines qui ne sont pas conçues pour subir des temps d’arrêt prolongés. Et les répercussions, qui peuvent entraîner de coûteuses interruptions d’activités, sont souvent négligées jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

Du matériel aux réseaux : les questions que doivent poser les courtiers

M. Babista encourage les courtiers à aider leurs clients à penser au-delà des machines physiques. « De nos jours, la plupart des équipements sont connectés, que ce soit à un système en nuage, à un réseau ou à un capteur à distance, explique-t-il. Demandez à vos client ce qu’il adviendra si leurs équipements doivent fonctionner plus longtemps pour des raisons liées aux changements climatiques et ce qui se passera s’ils ne démarrent pas après des mois d’inactivité. »

Il est tout aussi important que les courtiers vérifient si les clients disposent d'une couverture adéquate contre les pertes d'exploitation. « Il s'agit de leur source de revenus, souligne M. Babista. Si les équipements tombent en panne, les clients doivent s’assurer qu’ils peuvent encore joindre les deux bouts et se rétablir rapidement. »

Soutenir une protection plus intelligente

La Souveraine adopte une approche personnalisée en matière de couverture du bris des équipements, offrant une protection étendue qui englobe les pannes mécaniques, électriques et électroniques.

« Qu’il s’agisse de machines de production ou de petits appareils, nous travaillons avec nos courtiers partenaires pour comprendre les risques réels auxquels sont exposés les équipements du client et la meilleure façon de les protéger. »

Nos souscripteurs spécialisés, nos inspections réglementaires et nos équipes internes de gestion des risques nous aident à repérer et à gérer les risques avant qu’ils ne conduisent à un sinistre coûteux. Ce modèle axé sur la prévention constitue un élément clé de la proposition de valeur de La Souveraine. « Notre objectif est de soulager le client afin qu’il puisse se concentrer sur la gestion de son entreprise », explique M. Babista.

Commencer par la pertinence, et non par la vente forcée

Lorsque les courtiers vont plus loin et considèrent le bris des équipements en tant qu’élément essentiel de la stratégie de gestion des risques, et non comme un simple ajout, ils aident leurs clients à se bâtir une véritable résilience.

Cependant, il peut être difficile de véhiculer ces connaissances aux clients qui ne considèrent pas le bris d'équipement comme une priorité, explique M. Babista.

« Les exemples concrets sont très utiles. Si un courtier peut parler au client d’un sinistre qui est survenu dans une entreprise semblable à la sienne et lui expliquer comment il aurait pu être évité, cela ouvre la porte à une conversation axée sur la valeur », ajoute-t-il.

La Souveraine peut soutenir les courtiers en leur fournissant de tels exemples et des conseils d’experts en gestion des risques, ainsi que des conseils sur mesure en matière de risques. « La meilleure façon d’être proactif est d’être informé et nous sommes là pour aider les courtiers à le faire. Car protéger les entreprises aujourd’hui ne se résume pas à remplacer ce qui est cassé, mais consiste aussi à anticiper ce qui peut mal tourner, à prévenir les temps d’arrêt inutiles et à maintenir l’activité en cas d’imprévu, explique M. Babista. Il ne s’agit pas seulement des équipements, mais de tout ce qui en dépend. »

À VOIR : Un expert de Souveraine Assurance vous livre des conseils de gestion des principaux risques pour guider votre prochain entretien avec votre client sur le bris des équipements.

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